Cette partie possède une structuration claire: les 3 premières lignes accentuent l'inacceptabilité du contact visuel avec des lettres sur le hiluk, puis vient une ligne mystérieuse de la transformation des yeux , les 3 dernières lignes décrivent "auto-immolation" de l'adepte. Nous proposons d'interpréter la 4-ème ligne de cette partie, comme l'endroit du centre signifiant de l'hymne, le point de rupture de l'état du méditant, le Centre de l'ENIOvortex du modèle du texte, vers lequel se tend le « cocon interne d'énergie » du pratiquant. Cette ligne possède un certain nombre de versions manuscrites, où se dégage une étrange variante de « ohèz mahazoriût galgalèj einav », c'est à dire . que. dire « la périodicité des orbites de ses yeux est possédée »; le mot mahazoriût d'une part, transmet la connotation de la fréquence du processus de circulation, d'autre part – cela donne l'image d'un mouvement rotatif de vortex, car. le verbe lehahzir (d'où vient la version originale, que nous donnons en traduction) signifie "restituer, réfléter", tout en ayant l'idée de la répétition de la rotation, de la circulation. Ce terme est utilisé aussi dans la description mystérieuse de la structure symétrique de la merkava, lorsque la pierre du Trône de gloire (qui est toujours au Centre) ferait comme réfléchir (comme lancer ce flux du tourbillon) sur les servants du Trône , et "ceux qui sont face à la droite se reflètent, et se retrouvent à gauche , et ceux debout à gauche se reflètent et se retrouvent à droite" , la même chose arrive avec ceux, qui sont à l'avant ou l'arrière. Ils ont tous comme une répétition multiplexe de la même entité: "Celui qui regarde cela, elle dit, ceci est la même chose, que celà, parce que les traits de son visage ressemblent aux traits du visage de l'autre" ([24]). Ces mots mystérieux dépeignent une espèce de pierre étincelante centrale, projetant de nombreuses fois son image dans l'espace fermé d'une sphère miroir, mémorisant son image sous différents angles dans les parois, et gardant pour elle toutes les informations sur ces images. Étant donné que notre tâche n'est pas l'étude d'une telle image complexe et importante comme la Merkava, qui a déjà été l'objet de beaucoup d'études, alors concentrons nous seulement , sur notre terme, associée à la restitution, la rotation, la réflexion qui est analogue celui utilisé dans l'extrait ci-dessus d'une autre source hèjhalot. En outre, même la terminologie suggère la similitude déjà mentionnée entre les effets du contact avec la Merkava et le contact avec les lettres de notre hymne. L'accent du verset sur l'idée de œil est également essentiel à ce stade, la fréquence de la pulsation du Vortex agit précisément sur l’œil, et tout d'abord l'éruption de feu commence depuis les yeux. L'expression galgaleï einav (signifie approximativement , « les orbites de ses yeux ») est également ambigüe, étant donné que gal′gal′ c'est en même temps une « roue » et "le cycle de rotation" (y compris la rotation de la sphère céleste) et la racine doublée de l'« onde » et encore les nombreuses connotations. Par conséquent, cette expression ne met pas seulement en évidence l'apparence de l'œil, mais aussi les processus se produisant à l'intérieur , y compris les caractéristiques de la fréquence de vibration du cristalin et de tous les aspects des propriétés de ce dernier en tant que cristal. Ainsi, le centre de l'hymne se trouvent être les transformations, initiés par les modifications de l'ENIOpattern dans l'appareil de l'œil, qui reflète un état plus subtil et plus élevé d'un effet cristallin dans l'ENIOstructure générale de l'humain . Nous allons ignorer la description des phénomènes flamboyants, pour passer à la 3ème partie.
(P. Garaïev: Il y a ici quelque chose de différent. Le œil est en fait une partie déportée du cerveau, où les « pensées » ont des cristaux liquides sous forme de chromosomes, où sont gravés, incisés, formés les hologrammes d'images quadri-dimensionnelles (la perception visuelle est holographique) et le texte-hologrammes de l'appareil génétique au niveau du continuum chromosomique des cristaux liquides. « fait demi-tour » – la métaphore de perception de l'hologramme vu sous différents angles, ou idée chiffrée de l'inversion du front d'onde, connu en optique. L'élément de la ROTATION est une métaphore de la polarisation (des potentiels des spin) de l'ADN des chromosomes, où la lumière rayonnée de l'ADN se polarise selon un signe , et acquière une information génétique collective de spin. État de spin de rayonnement cohérent de l'ADN chromosomique est la principale source de l'information, textuelle du gène, en forme d'informations holographiques de l'œil-cerveau. Dans cette interprétation, nous avons, en fait, la spintronique holographique de la Conscience, corrélée avec la mystique métaphorique en question. L'idée de « brûler » l'adepte peut être interprétée ainsi:, Cette Connaissance Absolue d'origine Divine, contenue dans l'hologramme génétique, en tant que partie de l'hologramme universel de Bohm, n'est pas disponible à l'Être Humain, en principe , du fait de sa Divinité. Et la tentative d'appréhender cette Connaissance Absolue n'est pas compatible avec sa vie, cette Connaissance va le « brûler ».
