Déjà dans les années cinquante du siècle précédent, le savant chinois Tzian Kan Djen avait construit un appareillage permettant de lire et transmettre à distance une information génétique et l’intégrer dans un autre organisme. Il a obtenu ainsi divers hybrides, inconcevables pour la génétique officielle. En outre ces nouveaux caractères transmis à distance se sont ensuite transmis à la descendance. C’est ainsi qu’est née la génétique expérimentale ondulatoire.
« La vie est arrivée sur Terre en même temps que l’information » c’est là l’hypothèse extravagante et actuelle de l’apparition de la Vie sur Terre, et elle appartient à la science appelée : La génétique ondulatoire. Les savants sont convaincus que c’est bien une information ondulatoire extraterrestre qui a déterminé ce que devrait être tout ce qui sera vivant sur notre planète.
Comme toute nouvelle voie scientifique osée, elle nécessite des recherches fondamentales. Mais avant toute chose adressons-nous à la génétique officielle, académique : L’ADN est la base de tout ce qui vit sur Terre. L’ADN joue un rôle fondamental dans la création et l’entretient de la Vie. Elle remplis deux fonctions vitales : conserver et transmettre l’information aux générations suivantes. L’ADN est conservé dans chaque cellule d’un organisme. Sa double spirale contient le code génétique responsable de la transmission des caractéristiques spécifiques.
Ce qui nous intéresse particulièrement c’est que cette molécule d’ADN contient l’information sur nous-mêmes : comment sera l’organisme issu d’une seule cellule ? Quelles seront ses particularités ? Qu’est ce qui fera la différence entre nous et les singes ? Le milieu extérieur impose des modifications légères sur cette molécule chimique.
En 1951 deux savants généticiens anglais, Watson et Krick ont mis en évidence que l’ADN était formé par une double chaine spiralée. En 1953 ils ont déterminé la structure chimique de l’ADN. Trois mois plus tard ils ont construit un modèle tridimensionnel de cette molécule. On peut voir ce modèle dans chaque classe de Science Naturelle des lycées. Mais en ce temps là cette découverte a été reconnue comme une révolution scientifique : Watson Wilson et Krick ont reçu le prix Nobel de physiologie et médecine pour leur découverte.
Pourquoi les oranges ne poussent-elles par sur les oliviers, ni les bananes sur les plants de concombres ? Pourquoi un cheval ne peut-il engendrer un bébé kangourou ? Et un gorille n’engendrera pas un chimpanzé ? Tout est affaire d’hérédité. Ce sont les chromosomes et les gènes qui constituent l’ADN, l’acide désoxyribonucléique. Après l’analyse du génome humain on s’est aperçu que seul 1% de l’ADN était responsable de la synthèse des protéines. Les 99% restants sont souvent appelés « le résidu » de l’ADN. Donc officiellement, ce que nous héritons de nos parents ne serait contenu que dans le 1% de tout l’ADN transmis.
En effet la partie qui code pour des protéines représente environ 1% de tout l’ADN. Mais cela ne signifie pas que le reste de l’ADN ne nous est pas nécessaire. Sa signification ne nous est pas encore compréhensible, comme la partie dédiée aux protéines mais cela ne la fait pas insignifiante pour autant.