Les fonctions cybernétiques de l'ADN

Ces paquets d'onde, avec une bio-information introduite artificiellement , par les appareils électroniques, générateurs FPU, de notre conception, sont capables d'entrer en contact par résonance informationnelle, avec l'appareil génétique des animaux, des plantes et, probablement par, de l'homme, avec un changement brutal, subséquent, de leur métabolisme. Il s'est avéré, que la substance même de l'hérédité, l'ADN, est le générateur FPU des champs électromagnétiques acoustiques de solitons. C'est pourquoi les générateurs FPU sont capables d'injecter de l'information ondulatoire dans les chromosomes à l'aide des mécanismes de résonance électromagnétique. L'efficacité des générateurs FPU augmente de plusieurs ordres de grandeur, si dans la pratique on utilise le phénomène de la généralité mathématique de la structure fractale des « textes » ADN et de la parole humaine [[1], [30]]. La grammaire des textes génétique est, probablement par, un cas particulier des grammaires universelles de toutes les langues humaines. C'est pourquoi se produisent les résonances physiques et sémantiques des structures à solitons de l'ADN et des champs à solitons FPU synthétiques, emblématiques, comme analogues de champs FPU chromosomiques naturels. En enregistrant certaines commandes verbales par le générateur FPU, dans l'appareil génétique des semences de blé et d'orge endommagées par rayonnement ionisant, nous avons été en mesure de réduire considérablement le nombre d'aberrations chromosomiques, en fait nous avons bloqué les effets néfastes de l'irradiation aux rayons X. En outre, il s'est avéré, que la protection préventive du génome des plantes contre les rayons X durs, à l'aide de commandes ondulatoires adéquates est possible. Des expériences de contrôle, à l'aide de commandes (faites de constructions verbales aléatoires), introduites au moyen du dispositif FPU dans le génome du système biologique, ont montré, que de telles commandes n'ont aucun effet sur les chromosomes. Ces effets sont prédits et vérifiés par la théorie du gène ondulatoire et à l'aide de modèles mathématiques informatisés, simulant la «lecture» par des solitons de textes génétiques de l'ADN et la retransmission de ces textes vers d'autres cellules et tissus [1-26]. Les figures . 2 et 3 montrent les résultats de la simulation numérique de la dynamique des perturbations conformationnelles de l'ADN [[11]], qui affichent la fonction du comportement de l'onde d'isolement (semblable aux solitons) de la séquence des nucléotides de l'ADN, d'où cette ondulation a été lancée. Nos autres modèles de physique mathématique et d'autres expériences fondent ce qu'on appelle. « l'effet d'antenne » lors de l'excitation par les champs électromagnétiques, de modes collectifs sélectionnés des macromolécules d'ADN . Cela est directement lié à la théorie du gène ondulatoire, par les expériences de pompage à double photon, de structures biologiques, in vitro, produisant du rayonnement laser subséquente de l'ADN, cela est également conforme aux résultats sur la mémorisation par les cristaux liquides ADN du signal laser infrarouge pulsé [[29]]. Revenons à l'ordinateur biologique hypothétique, qui utilise les fonctions matérielles et ondulatoires emblématiques de l'ADN. Il est évident, que vous devez utiliser lors de son développement, moins les résultats de l'expérience d'Adleman et de ses disciples. Pour réaliser ses possibilités in vitro, l'ADN et/ou les chromosomes doivent être dans leur environnement naturel: en solution aqueuse, simulant le cytoplasme, et dans un état de cristaux liquides . Les vraies possibilité ondulatoires, y compris informatiques, des structures génétiques peuvent être identifiés dans les conditions, aussi proches que possible de celles, existant dans la cellule vivante. À la limite, on peut dire qu'un ordinateur ADN c'est une cellule vivante. Un analogue artificiel de cellule n'est pas possible de nos jours. Aujourd'hui nous ne pouvons faire que quelques modèles d'approche d'états emblématiques de l'ADN dans une cellule, comme nous l'avons fait en ce qui concerne l'enregistrement de l'information ondulatoires de l'ADN, sur les miroirs du laser, et la régénération des graines endommagées par le rayonnement X, grâce aux radiofréquences de l'ADN (cm. ci-dessus). Ensuite il faut commencer à utiliser les diverses mémoires ondulatoires des structures génétiques, et pour cela, tenter de construire des cellules de mémoire, fonctionnant sur le phénomène de la résonance FPU et/ou la capacité d'enregistrer les hologrammes, mais aussi l'enregistrement de l'information de l'ADN obtenue par laser, les ondes radio et la polarisation des photons (localisés, comprimés) et intriqués. Une telle mémoire sera plus rapide de plusieurs ordres de grandeur, en termes de capacité de stockage, de vitesse, et d'«intelligence » par rapport aux mémoires magnétiques , aux disques optiques et aux unités de stockage de masse holographiques, existants. La deuxième possibilité de principe est liée aux types de mémoire énumérées, mais elle est amplifié de plusieurs degrés par la capacité des chromosomes d'être un milieux actif laser. Les préparations chromosomiques sous cette forme, apparaissent simultanément comme des cellules de mémoire, et comme les lasers, relisant leur propre mémoire (et la mémoire induite) holographique, de type FPU, ainsi que la mémoire de photons localisés. Et enfin, le dernier des objectifs réalisables actuellement, c'est l'utilisation des caractéristiques de quasi discours de l'ADN. Il est possible de créer de tels lasers ADN, qui permettrons de rayonner et « vocaliser » aussi bien un texte génétique naturel, qu'un texte artificiel (synthétisé par l'être humain) constitué d'une séquence de caractères de polynucléotides, imitant des programmes génétiques quasi discursifs.