L'oscillation de l'ADN et l'eau

2.1. Transfert de la séquence d'ADN à travers les ondes et l'eau.

Dans d'autres expériences, un fragment d'ADN du VIH, pris depuis une répétition annulaire terminale longue (LTR-séquence), a été utilisé comme source d'ADN. Ce fragment a été amplifié par PCR (487 pb) et dans la PCR nichée (104 paires de bases) par l'utilisation d'apprêts spéciaux. Dans la première phase ont été créés des solutions d'ADN, où on détectait la production de CEM dans un environnement électromagnétique externe. En outre, les étapes suivantes ont été réalisées. Comme le montre la Figure 3, l'une des solutions acceptables (disons de 10-6) a été placé dans un récipient, protégé par une couche de mu-métal de 1 mm d'épaisseur (ce qui réduit l'absorption des ondes d'ultra basse fréquence ). Il y avait un autre tube à essai à proximité, ne contenant que de l'eau pure. L'eau de chaque tube a été filtrée à travers des filtres de 450 nm et 20 nm et dilués de 10-2 à 10-15. Autour d'eux était fixé un solénoïde de cuivre, qui générait un courant électrique de faible intensité, avec une fréquence d'environ 7 Hz, produite par le générateur externe.

Le champ magnétique produit a été maintenu pendant 18 heures à la température ambiante. Puis les CEM ont été enregistrées pour chaque tube à essai. Il s'est avéré, que le tube , ne contenant que de l'eau, émettait des CEM pour les dilutions, correspondant à des CEM positifs du tube d'origine contenant l'ADN.

Ces résultats montrent, qu'en cas d'une excitation à 7 Hz, le transfert des oscillations, initialement lancés par la nanostructure ADN originale, se produit aussi dans l'eau claire. Il a été constaté, que les restrictions suivantes inhibent le transfert de CEM vers le tube avec de l'eau: (P. Garaïev: contrôles!)

Le temps d'exposition des deux tubes à moins de 16 à 18 heures
L'absence de la spirale
Le générateur de champ magnétique arrêté
La fréquence d'excitation < 7 Hz
L'absence d'ADN dans le tube 1.

À ce stade a été franchi l'étape la plus importante , il s'agit d'une étude des particularités des nanostructures de l'eau , soumise à l'interaction reproduisant les séquences ADN . Pour ce faire, tous les ingrédients pour réaliser la réaction en chaîne de polymérase d'ADN (les nucléotides, les amorces, la polymérase) ont été ajoutés au tube, avec l'eau du destinataire. Développement a eu lieu dans des conditions classiques (35 cycles) dans le thermo-cycleur. L'ADN ainsi obtenu a été soumis à l'électrophorèse sur du gel d'agarose. Il en a résulté la découverte d'un secteur ADN de la taille estimée de la tranche initiale de fragment cyclique long terminal.
Il a été confirmée par la suite, que la séquence de l'ADN correspond ou presque à la séquence initiale de fragment cyclique terminal de l'ADN. En fait, Elle coïncidait à 98% (un écart de deux nucléotides) parmi 104. Cette expérience a été largement reproductible (12 sur 12) et elle a été également reproduite avec une autre séquence de l'ADN de la bactérie Borrelia burgdorferi, agent causal de la maladie de Lyme. Il a été clairement démontré, que les nanostructures de l'eau et leur résonance électromagnétique peuvent fidèlement conserver l'information de l'ADN. +++ Ces éléments fournissent une explication intéressante de notre expérience du filtrage de Mycoplasma Pirum (Fig. 1): les nanostructures, causée par l'ADN (M). Pirum dans l'eau filtrée, qui représentent divers segments de son ADN génomique. Chaque nanostructure au contact de lymphocytes humains, retro-transcrit l'ADN à l'aide de certaines polymérases-ADN cellulaires. Plus avant, il y a une certaine probabilité (même si elle est très faible), que chaque fragment d'ADN va s'attacher dans la même cellule avec d'autres fragments, pour reconstituer la totalité du génome de l'ADN. Il faut admettre, qu'en présence des cellules eucaryotes la synthèse des composants du mycoplasme (des lipides membranaires, des ribosomes) peut aussi être effectué par l'ADN du Mycoplasme. Le seul jeu de la cellule de Mycoplasme complet suffit à produire l'infection des lymphocytes. Les expériences récentes du groupe G. Vinter ont révélé [ [5] ], que l'ADN synthétique du génome est capable de vérifier toutes les propriétés du Mycoplasme. Toutes les étapes, entreprises dans le domaine de la régénération à partir de l'eau, peuvent être analysées et vérifiées.