les répliques ondulatoires de l'ADN

Les particularités suivantes caractérisent les objets réplicatifs sur les images de la pellicule photo:
D'une image à l'autre, les répliques apparaissent et disparaissent. Par exemple, dans la Figure 5: Dans le 3ème cadre - il y a des répliques, mais elles ont disparu dans le 4ème; Dans le 11ème cadre - il y a des répliques, dans le 12ème elles ont disparu. La même chose sur les cadres 13 et 14. Il y a des répliques des perforations du film et des lumières transparentes (4ème cadre). Il y a un décalage des images des répliques jusque dans l'interstice entre cadres, ainsi que vers les images voisines: entre 13 et 14, entre 23 et 24.
On pourrait donner l'explication préliminaire suivante de ces faits. Le phénomène observé du décalage d'une image d'un cadre à l'autre et l'exposition de la pellicule photographique dans la région de la perforation, peut être expliqué par le choix sélectif de la longueur d'onde, parmi une vaste gamme, par des guides d'ondes plans. Ils se forment entre les limites supérieures et inférieures de l'épaisseur de la couche photosensible, ainsi qu'entre le substrat et le film d'émulsion. La présence de réflexions multiples et du fait de la diffusion lumineuse par les rugosités des guides d'ondes plans de basse qualité , ainsi que par l'absence en eux d'une focalisation et la superposition d'images «rampantes», réfléchies par les limites opposée de la pellicule, des images de bords opposés du film , il se produit une superposition réciproque qui a pour conséquence un flou. Les images des perforations du film ne perdent pas leur netteté par le fait d'une relative importance de leur taille. L'importance de ces perforations peut être comprise comme relative à la granulométrie de l'émulsion. Les objets de grande taille et à fort contraste ne requièrent pas de focalisation lors de la diffusion des images sur de petites distances comparées à l'objet lui même . Cela explique également l'empiètement des images des diodes luminescente dans l'espace entre les photos.
Effet de l'enregistrement irrégulier des réplications d'un cadre à l'autre peut être compris ainsi: Il se produit un relativement long pompage Uv des fibres de l'ADN, puis de son rayonnement subséquent, après réception de la valeur limite de l'énergie stockée. Son rayonnement dure un certain temps, mais qui est bien moins long que celui du pompage. Si les durées d'enregistrement d'images et d'éjection de l'énergie stockée de pompage sont divergentes, il y a une perte de l'enregistrement des répliques de l'ADN et des objets environnants, et s'il y a coïncidence de ces temps alors l'enregistrement de ces répliques est assuré. Si on fait le choix d'un pas temporel optimal de la cadence d'enregistrement, coïncidant avec la période de décharge de l'énergie de pompage due aux guides d'ondes laser de l'ADN, l'enregistrement sera continuellement reproductible d'une image à l'autre.
Précédemment nous avons émis l'hypothèse, que l'ADN in vivo-in vitro est un milieu formant un hologramme [[8],[9]]. En adoptant cela , on peut supposer , que sur le support photosensible ADN, tout comme dans le collagène (de la gélatine), il est possible d'enregistrer artificiellement des hologrammes dans les spectres bleu et ultraviolet. Dans ce cas, lorsque nous avons utilisé la lampe bleue et celle à rayonnement ultraviolet il se produisait l'enregistrement automatique simultané de l'ADN sur lui-même et des objets les plus proches sur les structures quasi cylindriques photosensible de l'ADN dans un état d'un gel rigide. Puis à partir de chacun d'eux, par les rayonnements rouges et infrarouges- sont lues plusieurs images floues et de ce fait déformées de la première image bien nette, suivies de représentations plus faibles, de tous les degrés ultérieures des images de diffraction, décalées l'une rapport à l'autre. Cet enregistrement des hologrammes dans l'ultraviolet, suivi de leur restitution dans le rouge et infrarouge- conduit à un flou des images. Ce flou est produit tant en raison de leurs multiples images spatialement distribuées, qu'à la présence de plusieurs images produites par chaque brin de fibres d'ADN. Flou se produit également au détriment de ses propres vibrations acoustiques de l'ADN médicament avec l'effet de Fermi-Pasta-Ulam [[8]].
Il nous semble, que ce genre de réplication d'images, avec des doses élevées de rayonnement ultraviolet, par exemple dans les cas des coups de soleil, dans les couches de la peau et les tissus adjacents des humains, peuvent apparaitre des programmes pathologiques d'une régulation holographique anormale, lors d'une relecture dans le rouge et infrarouge- de la lumière solaire. Ceci, à son tour, peut conduire à l'apparition de certains types de tumeurs malignes, pour un certain dépassement du seuil du niveau de luminosité des images holographiques reconstituées. C'est déjà connu pour le mélanome.
En plus, en raison de la haute énergie du rayonnement ultraviolet, parallèlement à l'enregistrement des hologrammes, il se produit un effet d'arrachement partiel d'électrons et d'une détérioration partielle des structures de l'ADN, ce qui conduit à une accumulation de charges libres, du type d'une charge de condensateur, à la surface des fibres d'ADN. La charge accumulée crée un effet de redistribution spatiale des fibres, qui, à son tour, affecte la distribution prioritaire des images reconstruites. Il y a décalage , des images des degrés de diffraction reconstitués, dans la direction opposée à la diffraction initiale, conditionné par l'effet d'inversion du signe de polarité du condensateur . Au contact de ce quasi condensateur spatialement distribué, nous avons découvert un autre effet, alimenté par la fuite partielle des charges et leur redistribution, consistant en l'émergence des degrés de diffraction de droite ou de gauche, dans les nanostructures régulées de l'ADN . Cet effet est observé dans la Figure 5 (a, b). Cet effet permettra par la suite de créer des nanostructures spatiale pilotables d'ADN , par exemple, dans les processus de régénération d'organes et de tissus sur des personnes, par le biais d'un contrôle ciblé holographique, ce qui a déjà été réussi dans une forme élémentaire [[21], [22]].
Nous devons souligner, que la découverte des effets de formation des répliques ondulatoire de l'ADN et de son environnement proche, ont besoin d'une reproduction expérimentale plus précise et d'une justification théorique. Beaucoup de phénomènes dans cette partie ne sont pas clairs et c'est pourquoi les recherches se poursuivent.