les répliques ondulatoires de l'ADN

Il est possible, qu'une telle distribution de la luminosité puisse indiquer, que la piste discrète photographiée soit la réplique indirecte due à l'échantillon d'ADN, de la matrice lumineuse répété de nombreuses fois de l'appareil "Duna-M", de couleurs rouge et infrarouge (position 8 sur la Fig.. [8]), sous laquelle se trouve la préparation de l'ADN lors de la production de la réplique. Cette source lumineuse constitue une matrice de 37 diodes alternées, dont 21 sont rouges , et 16 sont infrarouges. Dans l'expérience, la préparation d'ADN était placée dans un tube à essai Eppendorf et recouvrait 5 diodes. C'est en corrélation avec la quintuple trace longitudinale du tracé de la réplique (Figure. 3a). Une propriété importante des répliques ondulatoires de l'ADN est la rémanence relative de leur existence après la désactivation de tous les champs physiques déclenchants (Figure. 4), mais la durée de vie d'une réplique dépend aussi de la sensibilité de la pellicule photographique, qui fixe la réplique . Ainsi que de sa sélectivité spectrale. Sur (Figure 4( a)) la réplique ondulatoire de longue durée de vie de l'expérimentation de la fig. 3 (« le fantome ») Après l'extinction des champs électromagnétiques déclenchant. Figure. 4(b) distribution de la luminosité sur les canaux des couleurs: Rouge, Vert, Bleu.

Figure. 4 ( a)

Figure. 4 ( a).

Figure. 4 (b)

Figure. 4 (b).

Figure. 4 (b)

Figure. 4 (b).Histogrammes.

[..] Figure 4(b) La première à gauche dans la rangée du haut: l'histogramme RVB -Résumé (combiné) On peut remarquer une différence significative dans les distributions de luminosité par canaux de couleur dans l'image d'une réplique ondulatoire de d'ADN et du "fantôme" de cette réplique, restant après l'extinction des sources lumineuses. L'analyse des images sur la figure. 4 (b) et en la comparant avec l'histogramme de la Figure 4 (b) révèle le fait que, cette image de la réplique « fantôme » dans le canal rouge s'estompe autant dans son diapason , que dans les amplitudes des valeurs de luminosité. Dans le même temps, dans les canaux vert et bleu, on constate un rétrécissement de la localisation des valeurs dans la plage de 70 à 120, On voit clairement un pic, et cela explique l'intensité de la réplique d'ADN, ses nuances et ses demi-teintes, et particulièrement, dans le canal vert.
Figure 5 (a)(b)

Figure 5 (a)(b)

Figure 5(a) Cas de l'action mécanique sur la préparation de l'ADN. Deuxième variante des méthodes pour révéler les répliques ondulatoires. (b)Décalage des répliques ondulatoires à gauche immédiatement après un choc mécanique. On assiste à une division nette de l'image au niveau- de la couleur et de la luminosité, sans rapport avec le fonctionnement stable de l'obturateur de la caméra.[..]
Figure.  [5]   (b)

Figure. [5] (b)

Figure 6 (b)

Figure 6 (b)

Figure 6 ( a)

Figure 6 ( a)

[..] La disparition de l'effet de formation des répliques de l'ADN. Figure. [5] (b) au bout de 5-8 sec. Sur un choc mécanique sur la préparation de l'ADN. Cependant tous les équipements, à l'origine des répliques , restent activés.
Le type de répliques généré dans ce cas précis, dans le cadre des méthodes utilisées, est de nature stochastique (1ère variante des méthodes) ou bien déterministe (2ème variante) dans l'espace-temps.
Un des résultats des répliques ondulatoires d'objets de proximité, obtenu à l'aide de la préparation d'ADN, et selon la 1ère méthode, était la formation de la triple image de la lampe BS (UV-B). Figure 6(a) original. Figure 6(b). Image contrastée.