Cette situation ne me satisfaisait pas. Je pense, que c'est le cas de nombreux autres biologistes. Cette conspiration du silence, de la Science officielle était insuportable. Et la raison en est simple. L'analyse du comportement de l'appareil génétique en situation d'homonymie, conduit logiquement à une forte, thèse, fondamentale d'un génome quasiment intelligent. Pour sélectionner le bon acide aminé dans la protéine en situation de l'ambiguïté homonymique, le système qui synthétise, doit être capable de LIRE, et lire non pas dans un sens métaphorique, mais réellement , toute la molécule ARNt, c'est à dire. Donc PRENDRE CONSCIENCE du contexte et le COMPRENDRE. Puis PRENDRE la DÉCISION sur le choix de « l'acide aminé juste» ou d'un signal d'arrêt (stop-codon). Cela ne peut se faire que par un acte de pensée, RAISONNABLE, ce qui implique la présence d'une amorce d' INTELLECT chez le génome . En conséquence, le génome n'est pas uniquement basé sur la pure biochimie et la physique des interactions des macromolécules biologiques, ce qui a été pudiquement occulté par la communauté scientifique pour plaire au matérialisme dur et pour des raisons mercantiles. Le concept de la quasi intelligence du génome nous introduit dans un tout autre domaine des connaissances, qui sont jusqu'à présent soit inaccessibles, soit qui sont intentionnellement masquées. C'est aussi la révision des positions philosophiques sur la fonction et l'origine de nos chromosomes, et en même temps, une revue de toutes les technologies à la disposition des généticiens, et des médecins. En conséquence, cela conduit à réorienter les flux financiers en biologie et en médecine, ce qui n'est pas du goût de tout le monde. En outre, je dirai, que les récents travaux de V.I. Schtcherbak ont révélé un autre constat fondamental: le code des protéines manipule les mathématiques, en utilisant la notions très abstraite du ZÉRO.
V.I. Schtcherbak à trouvé dans le système du calcul génétique l'utilisation des fonctions du zéro. Il s'agit d'un fait extrêmement important, parce que le zéro est une création purement mentale, donnant lieu à une conscience des coordonnées et l'évaluation quantitative des mesures du monde extérieur, qui est interprété par la conscience interne, calculatrice, génétique, de l'organisme. Ainsi, les chiffres (avec les lettres) deviennent partie intégrante du code (génétique ) de la protéine. Et nous devons prendre une position immédiate de force, qui admet qu'il existe, in vivo, une régulation arithmétique dans la génétique linguistique et/ou textuelle.
Ainsi, le système qui réalise la synthèse des protéines, et le génome en général, disposent d'un quasi intellect et d'une capacité de calcul mathématique, comme partie d'eux-même. Je noterai, qu'il ne s'agit pas d'une réflexion du niveau du cerveau humain, mais d'une quasi-reflexion de l'appareil génétique en tant que bio-calculateur. Nous avons affaire ici à différentes dimensions du même phénomène, de la pensée et de conscience au niveau du cortex cérébral (une dimension d'ordre supérieur) et la pensée et la conscience au niveau de la fonction des chromosomes, et du système de synthèse protéique (une autre dimension de la même fonction, à micro-échelle). Ces simples considérations emmènent la biologie, la génétique, la médecine dans des domaines complètement nouveaux, et il est clair , que le modèle canonique du code génétique n'est pas COMPLET, de toute évidence. Le génome est une structure mathématique et linguistique, ce sont les textes et les algorithmes du Créateur. Simultanément, il est nécessaire de prendre en compte nos développements théoriques et expérimentaux récents. On y montre, que les textes génétiques et d'autres structures figuratives du génome peuvent être stockées sous la forme d'hologrammes de polarisation dans les cristaux liquides des chromosomes [D. Tertychny, Gariaev, 2007, Les nanotechnologies génétiques ondulatoires de régulation des systèmes biologiques . Théorie et expériences. Nouvelles technologies médicales, 2007, №7, pages 49-64]. Ce pool d'information est énorme et il occupe la majeure partie du génome - environ 98%. C'était incroyable, que ces 98% du matériel génétique ne sont pas compris par la génétique dite officielle, qui les désigne comme un « déchets »! Mais c'est le thème d'une autre longue conversation.
C'est également substentiel, que les formes les plus élevée de la conscience humaine au niveau du cortex cérébral se réalisent, apparemment, également par l'appareil chromosomique, en tant que figure majeure de toute cellule. Et une fois de plus, les structures textuelles des fractions protéiques à synthèse rapide du cerveau , sont en corrélation avec la pensée et la conscience . Je noterai, que c'est le cerveau qui a la plus puissante synthèse de protéines , dans les neurones corticaux. Le travail du génome du cerveau passe aussi par la mise en hologramme des ressources de l'ADN. Ainsi, l'origine idéale de la pensée-conscience repose sur des structures matérielles des molécules informantes de l'ADN, de l'ARN et des protéines, qui sont les reflets des technologies et des paroles du Créateur, comme un autre aspect de Sa pensée.
