Les aspects de la transmission ondulatoire des gènes

Mais les électrons, en fait, se déplacent aussi avec des fréquences différentes, et avec des vitesses différentes. Autrement dit, les électrons extérieurs sont déplacent plus lentement, les électrons atomiques intérieurs se déplacent plus vite.
Or le mot « déplacer » signifie, que ces électrons sont repérés avec une certaine probabilité autour d'un atome, Mais si vous exécutez un certain processus transitoire, par exemple, comme d’exciter l'atome d'une certaine façon ou de déloger un électron de son orbite, alors vous initiez une certaine évolution des fonctions ondulatoires.
S'il y a un processus à évolution très rapide, où des charges électriques sont déplacées, par exemple des électrons, des protons, alors, cela signifie, que vous pouvez voir se produire un rayonnement électromagnétique, et sa fréquence va correspondre aux durées typiques des transitions, que contient précisément votre processus .
Par conséquent, si vous examinez attentivement ce processus et que vous enregistrez le flash du rayonnement électromagnétique, alors il devient possible, de décrypter ce flash et d'apprendre quelque chose sur le processus lui-même.
Récemment, ceci a été appliqué à une protéine intéressante – de Bactériorhodospina. Il s'agit d'une protéine unique. qui n'est produite dans la Nature, que par un type spécifique de bactérie, et elle est intégrée dans leur membrane, autrement dit, elle est incrustée dans la membrane, et elle réalise la fonction suivante. Il s'agit d'une protéine photosensible: Lorsqu'elle est éclairée, elle commence un cycle, une cascade de processus, d'ajustement, des reconfigurations diverses de cette protéine, qui se traduit par le transfert d'un proton d'une extrémité de la molécule à l'autre. Étant donné que cette protéine est incorporée dans la membrane, il s'avère, qu'en cas d'éclairement elle fonctionne comme une pompe à protons. Elle déplace les protons depuis une partie, d'une région vers une autre, où elle les libère, puis à nouveau elle reprend un proton, le déplace et le libère encore. Il s'est avéré, que cette protéine possède des états avec des échelles temporelles très différentes. Généralement l'ensemble du cycle s'étend sur 20-30 millisecondes, ce qui est assez lent.
Mais certaines étapes ne durent que quelques microsecondes, et certaines étapes dans ces phases ne durent que quelques nanosecondes et même des picosecondes, Il existe une gamme de 12 niveaux dans les différentes transitions de cette molécule. La première réponse à la lumière de cette molécule , se déroule en 1 à 2 picosecondes. Et pour comprendre la dynamique de ce processus, il faut une méthode, qui vous permette d'aller plus profondément, que la gamme des picosecondes, autrement dit, dans la gamme de la femtoseconde, Il est souhaitable de disposer de centaines, voire de dizaines de femtosecondes pour y voir, à l'aide de cette méthode
Ainsi, nous pouvons conclure que, les hologrammes dynamiques HOMI sont bien, l'outil très convoité dont rêve des physiciens et des biologistes.
À l'aide de cette holographie dynamique il a été possible de convertir et former de nouveaux faisceaux de lumière, qui se distinguent sur des dizaines ou des centaines de % pour leur fréquence [[27], [28], [30]].
C'est précisément ce phénomène qui a été immortalisé dans notre montage expérimental – représenté par la apparition inhabituelle d'oscillations électromagnétiques , en corrélation avec le contenu informationnel des bio-objets, irradiés de lumière laser . Cependant, dans un souci de justice, Il est à noter, que la réponse en multi fréquence, à l'exposition au laser, peut avoir un certain nombre d'autres, causes différentes , notamment l'interprétation , décrite dans le précédent modèle [3, 4].
Ainsi, nous interprétons d'une façon nouvelle ce même phénomène, qui ne trouvait pas d'explications pendant une longue période. Mais nous ne donnons qu'une des versions , de l'origine du signal radio, transportant de l'information génétique puissamment active. Cette version complète l'hypothèse proposée plus tôt de l'occurrence du champ électromagnétique modulé à large bande (CEMLB), basé sur la théorie de la lumière localisée [3].
Le signal radio est généré par l'hologramme dynamique HOMI pour le compte de la lecture rapide (atteignant la femtosecondes) du complexe des réponses de toutes les molécules optiquement active de l'échantillon biologique, y compris l'ADN, l'ARN et les protéines, en réponse à l'interaction complexe du laser. Un tel signal radio fait partie du rayonnement électromagnétique modulé secondaire à large bande (REMLB) de ce laser.