Les aspects de la transmission ondulatoire des gènes

La spécificités de l'utilisation du spectre de diffusion obtenu dans cette expérience , consiste dans le fait que grâce à la table d'ajustement, où est fixé le l'échantillon biologique réfléchissant, une grande partie du spectre de la lumière réfléchie ( Figure 3) est renvoyé, au travers d'une glace sans teint frontale du résonateur du laser, -vers l'intérieur du résonateur laser.

Figure. 3

Figure. 3

La conséquence de cet ajustement est la pénétration partielle de la lumière réfléchie, dans le résonateur laser, puis il se produit ce qui suit:
En premier lieu, le flux de lumière modulée (et diffractée) par le bio-objet, reflété dans le résonateur , commence à se renforcer dans le laser. Presque autant, que se renforçait précédemment la lumière non modulée de la source de pompage.
Deuxièmement, du laser rayonnera une onde qui n'est plus plate, pas du tout modulée, mais une onde beaucoup plus complexe, qui est modulée par les structures biologiques. Tout d'abord, – par l'ADN chromosomique, ainsi que par l'ARN, par les protéines et par autres métabolites.
La modulation de cette onde le sera sur différents paramètres, y compris, par la polarisation (des spins des photons), qui a aussi une fonction biologique sémantique.
Les structures génétiques sont optiquement actives et contiennent dans ce plan un énorme réservoir d'information structurale et dynamique, y compris génétique [[1], 9/3].
C'est précisément une onde aussi complexe qui sera amplifiée par notre laser.
Nous aurons ainsi une zone d'intersection de deux faisceaux d'ondes venant en sens inverse (le long de l'axe du laser) avec une multitude de fréquences différentes, car tous les types possibles de diffusion, de réflexion et de réfraction sur les objets optiques non linéaires donnent lieu à des spectres optiques avec les spectres de fréquence très riches.
L'interférence complexe d'ondes modulées à large spectre de fréquences est essentielle pour la formation et d'enregistrement d'hologrammes spéciaux dans les faisceaux concurrents. Habituellement l'enregistrement des tableaux d'interférence (avec la conversion subséquente d'enregistrements en hologrammes) nécessite l'utilisation d'écrans, ou de plaques photosensibles, capables de fixer les interférogrammes obtenu/ des hologrammes.
Cependant, dans notre cas, cela n'est pas nécessaire, puisque nous avons affaire à un type particulier de l'hologramme de Denisiuk (avec des hologrammes dynamiques du déplacement des ondes d'intensité).
La caractéristique de ces hologrammes réside dans ce, qu'ils se forment dans des milieux strictement non linéaires, appelés. milieux quadratiques [[26]], comme le sont les tissus des systèmes biologiques [[18]].
Représentons l'onde provenant de l'objet biologique, comme un flux intégré ondulatoire A1 = (Ax + A0), où Ax est le flux lumineux diffusée par l'objet biologique, et A0 l'onde primaire (non modulée) du rayonnement laser.
L'onde A1 , comme on le voit d'après les descriptions de notre expérience, c'est l'onde amplifiée , par la source primaire qui a été reflété par l'objet biologique (le spectre de Fresnel).
À la rencontre de l'onde A1 = (Ax + A0) arrive une onde presque identique, mais non amplifiée, « – A1 », C'est cela qui crée une image unique de l'interférence avec enregistrement d'un hologramme dynamique de rencontre, des ondes mobiles d'intensité.
Conditions particulières pour un tel enregistrement:
[1]. l'existence dans le temps et l'espace d'une zone d'intersection des deux faisceaux en collision («А1» et « – A1 ») directement dans l'espace (dans le volume) de notre échantillon biologique.
[2]. la présence de composantes de polarisation et de phase complexes dans les faisceaux de lumière, créé par l'interaction du rayonnement laser cohérent avec l'objet biologique non linéaire.
3. la présence des spectres de réflexion de Fresnel des deux faisceaux, où interfèrent les composantes de fréquences différentes , qui assurent la formation d'un hologramme dynamique des ondes courantes d'intensité (HOMI).
Ainsi que l'avait démontré J. N.. Denisiuk [[24]] et plusieurs de ses collègues [27-31] un hologramme dynamique des ondes courantes d'intensité (HOMI) est un hologramme particulier.
Notons, qu'en fait, c'est une propriété unique (et peu connu d'un large cercle de spécialistes) qui est sa possibilité d'enregistrer les hologrammes de la lumière, en pleine lumière, ainsi que la restauration d'hologrammes de «lumière» (depuis des structures lumineuses) sous la forme de nouvelles structures lumineuses.
Il est primordial de noter, que le processus spécifié, en tant qu'interaction complexe des ondes lumineuses, n'est pas perceptible (par le œil humain) directement, optiquement. Et, soit vraisemblablement, que ce soit pour cela qu'il n'aurait pas attiré l'attention. Cependant, le phénomène de naissance et de fonctionnement d'hologrammes (HOMI), a été découvert par académicien de l'Académie des SCIENCES d'URSS Y. N.. Denisiuk, est vraiment connu (depuis 1974), il a été maintes fois prouvé par des expériences spéciales, et par beaucoup de travaux connexes et des calculs mathématiques [[27]].