Le code génétique ondulatoire

«Le Code Génétique ondulatoire» a été rédigé trois ans après la publication de la monographie «Génome ondulatoire» , et malgré la similitude des titres, il ne le répète pas, mais il le développe, surtout sur le plan théorique.
En biologie , et particulièrement, dans son élément clé: la génétique, est venu le temps, d'une réévaluation des valeurs . Il est probable , qu'elle aura un caractère explosif. Tant les mots et les notions de « gène » et de « code génétique à triplet » sont mal-aimés de beaucoup, à une époque «à la Lyssenko», et enfin, ces notions largement acceptées, et semble-t-il, où tout est clair. Mais voici le paradoxe, cette apparente clarté est devenue un frein intellectuel. toutefois, l'avalanche de nouveaux faits expérimentaux ne s'intègre plus dans les idées reconnues, qui hier encore, étaient révolutionnaires. Ces faits nouveaux sont étonnants, ils excitent l'imagination, et vous aspirent en avant. Prenons, par exemple, le problème de l'ADN « égoïste », ou l'étrange synthèse gaspilleuse des ARN pré-informés , ou la ventilation intron-exonne des gènes, apparemment inutile. Et si on prend le problème des orientations distantes liées au contexte, lors de la sélection des acides aminés dans la synthèse des protéines, ou le phénomène des rayonnements laser et de soliton dans l'ADN. Et c'est seulement une petite partie des phénomènes « anormaux » en biologie. La situation est particulièrement intéressante avec ses célèbres wobble-hypothèses de F. Crick, qui cache sous la bruyante l'idée d'un soi-disant mouvement aléatoire « à bascule » (dans le remplacement) du troisième nucléotide dans le codon, la principale difficulté théorique du paradigme du code à triplet, son homonymie. Les doublets-homonymes semblables devraient signifier exactement (encoder) l'un ou l'autre des acides aminés distincts, et le ribosome fait ce choix d'acide aminé, de façon exacte et claire . Mais comment se fait-il que la génétique et la biologie moléculaire ne peuvent pas répondre à cette question aujourd'hui? C'est qu'ils, sont figés dans la phase d'incompréhension des règles d'orthographe des « textes » protéiques et des « lettres » d'acides aminés .
En d'autres termes, il est temps de réviser le problème du code génétique . Et pourquoi est-il génétique ? Il est protéique. Pour ce qui concerne le code génétique, en tant que plan pour la construction de l'ensemble du système biologique, il est radicalement différent: il est hétéro-multiplet, polymère, pluriel et, et enfin, figuré-ondulatoire.
Ce travail ne prétend pas être la vérité ultime.. Son objectif plus modeste, est de poser correctement les nouvelles questions. Les réponses à ces questions, peut être, seront trouvées dans le courant du XXI siècle.
P.P. Gariaev « code génétique ondulatoire », Editeur « IZDATTSENTR» 1997. ISBN 5-7816-0022-1

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